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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 10:58
C'est leur âge. Ce sont les seules survivantes du dernier cataclysme planétaire, et sans doute celles du prochain...bientôt.
Je me demande si je ne vais pas encore changer de pseudo...Cassandre m'irait pas mal.
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23 juillet 2008 3 23 /07 /juillet /2008 07:11
Les chevaux n'ont pas le moral. Pourquoi l'auraient-ils ?
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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 14:05
J'ai reçu ça dans ma messagerie :
"Le réchauffement, les émissions de gaz à effet de serre, les paroles creuses du G8 sur le sujet, nous en avons largement entendu parler. La perte de la biodiversité et ses conséquences économiques, déjà moins.
La nature a un prix
La nature doit bien avoir un prix, le problème est que nous ne le connaissons pas encore. Le fixer, ou plutôt fixer ce que cela nous coûterait de la détruire, voilà la mission de Pavan Sukhdev. Cet Indien travaille au département des marchés de la Deutsche Bank et milite au sein d'une puissante association de défense de l'environnement : la Conservation Action Trust.
La communauté internationale a chargé Pavan Sukhdev de donner un prix à la diversité. Ou plutôt à sa perte. "Ce qui est utile n'a pas toujours une grande valeur, comme l'eau par exemple, et ce qui a une grande valeur n'est pas toujours utile, comme les diamants. (...) Nous avons du mal à établir la valeur de la nature, elle échappe au monde. C'est l'une des causes sous-jacentes de sa dégradation", ainsi Pavan Sukhdev introduit-il l'objet de sa mission.
La nature et la diversité ne sont pas simplement essentielles à la qualité de l'air que nous respirons. D'elles dépendent de nombreux secteurs, certains étant tout aussi utiles que l'air pour notre survie. De la nature, nous tirons évidemment l'eau et la nourriture. Mais aussi des médicaments, des carburants, des fibres textiles... Sans compter les services que mère Nature nous rend, comme nous protéger des inondations ou de l'érosion. Soit un ensemble de bienfaits, appelé en jargon "services écosystèmiques".
Le "rapport Sukhdev" est attendu dans son intégralité en 2010, mais il vient cependant de délivrer ses premi ères conclusions.
Des sommes colossales
Crise alimentaire, famine, malnutrition, on se dit, au vu de telles catastrophes humanitaires, qu'il faudrait augmenter la surface des terres agricoles, défricher, planter, récolter. Sauver les populations pauvres ne passe pourtant pas par la transformation d'espaces encore naturels en terres agricoles.
Au contraire, la perte de la biodiversité viendrait en premier lieu frapper les populations pauvres. Car la diversité est essentielle à la survie des secteurs qui font vivre ces pays : agriculture vivrière, élevage pêche...
Risques et coûts de la perte de la biodiversité sont exposés dans la première version du rapport Sukhdev. Si rien ne change, "11% des espaces naturels, soit la superficie de l'Australie, seront détruits d'ici 2050 en raison de la conversion de ces terres à l'agriculture, du développement des infrastructures et du changement climatique. (...) 60% des récifs coralliens risquent de disparaître d'ici 2030 du fait de la pêche, des maladies, des espèces allogènes envahissantes et du blanchissement des coraux lié au réchauffement climatique".
Cette catastrophe annoncée a un coût. L'appauvrissement de la vie sous-marine reviendrait à 100 milliards de dollars, plus la disparition de 27 millions d'emplois, sans compter les problèmes alimentaires, qui conduiraient à une perte en apport de protéines pour environ un milliard de personnes.
Concernant les zones forestières, le coût annuel de l'altération de la biodiversité pourrait être compris, d'ici 2050, entre 1 350 et 3 100 milliards de dollars.
Voici un exemple concret pour comprendre le coût économique de la dégradation de notre environnement :
La disparition de la forêt Masaola à Madagascar (riche en girofliers) ferait perdre 1,5 milliard de dollars à l'industrie pharmaceutique, 5 milliards au tourisme, 4 milliards aux 8 000 ménages à qui elle fournit des aliments, des médicaments naturels, des matériaux de tissage ou de construction.
Qui payera l'addition ?
Si rien ne change, ce sont des secteurs économiques entiers qui pourraient s'étrangler, comme le montre le simple exemple de Madagascar. Les pays les plus touchés sont les plus pauvres, ceux qui n'ont de toute façon pas les moyens d'investir dans la sauvegarde de la biodiversité.
Pavan Sukhdev songe à plusieurs systèmes pour prendre en charge le coût de cette sauvegarde.
Première suggestion : modifier nos comportements. Les gouvernements n'encouragent pas la préservation de notre environnement naturel. Dans la ligne de mire de Pavan Sukhdev : la France. "Aider les marins européens à acheter du carburant, c'est encourager la surpêche".
Autre suggestion : développer le système des "biobanques", qui existe aux Etats-Unis. Les agriculteurs ou les entreprises qui cannibalisent les zones humides doivent compenser, en achetant à des banques spécialisées des "crédit environnementaux".
Plus généralement, le rapport Sukhdev prône la mise en place d'un nouveau système économique. Pour lui, se concentrer sur l'industrie n'est pas la solution : l'automobile, la sidérurgie ou la technologie de l'information ne créeraient que quelques millions d'emplois. La véritable solution, selon Pavan Sukhdev, serait de rémunérer l'entretien et la conservation du capital naturel. Cette équation permettrait à la fois de sauvegarder notre environnement et de fournir emploi et rémunération aux populations les plus défavorisées. Une vision cependant utopique car on ne peut pas faire du tiers-monde un simple garde-champêtre."

Ingrid Labuzan.

En gros, ce que dit Pavan Sukhdev, c'est qu'il faudrait changer l'économie mondiale et nos modes de vie...ce que les multinationales et les gouvernements de tous les pays du monde, dictatures ou démocraties, refusent de toutes leurs forces, leurs énergies, leurs compte en banque...Comme le bon peuple, la majorité des gens, n'y comprend rien, ne veut surtout pas changer (c'est quasiment névrotique, on veut que tout reste comme avant, alors qu'on sait pertinemment, même inconsciemment, que la permanence, la pérennité, ça n'existe pas, que ce n'est qu'un fantasme de notre cerveau fêlé), cela ne risque pas vraiment de bouger d'une façon vraiment conséquente. On voit comment l'écologie est récupérée pour être vidée de sa substance dans les farces organisées, genre "Grenelle de l'environnement", comment l'agriculture biologique est en train d'être sapée par les lois européennes (avec un zeste d'ogm, un autre de pesticides, et un troisième de radioactivité).

Si on se réveille un jour, ce sera forcément trop tard. Le dernier sursaut avant la mort...D'ailleurs un des scénarios probables (c'est déjà arrivé il y a quelques millions d'années, je crois), c'est l'inversion des pôles. La Terre va basculer sur elle-même et les survivants, s'il y en a (ceux qui se baladeront en avion peut-être), reviendront à la préhistoire...avec toutes nos centrales nucléaires qui seront cul par dessus tête, bonjour la radioactivité partout (surtout si sarko a le temps d'en vendre partout)...et les futures générations d'humains risquent d'avoir une drôle d'allure. J'ai lu dernièrement un reportage sur l'arctique. Les nations qui le bordent sont en train de se disputer le territoire, en attendant que ça fonde et en se frottant les mains de la bonne aubaine. Car il y a plein de pétrole dessous. Ils commencent à planter leur drapeau un peu partout...Le Canada, le Danemark, la Russie...Je ne sais pas qui gagnera le gros lot, mais toujours est-il que, lestée de sa glace, de son pétrole, l'équilibre de notre planète bleue sera peut-être des plus précaires, d'où le basculement...
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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 08:51
J'ai lu un article sur le blog "psychanalyse et animaux" dont je vous parle souvent, car il est une mine d'informations pour qui s'intéressent  aux souffrances infligées aux animaux par les humains...et qui veulent que cela cesse.
Il s'agit d'un article très important puisqu'il s'agit de la multinationale "L'Oréal"...parce que nous le valons bien, paraît-il...
A vous de voir si vous valez bien ce qui suit...pour ma part, et bien que j'aie une très haute conscience de ma grande valeur, je pense que je ne le vaux pas...et je n'en veux pas !
Je transmets:

 Cette compagnie ne veut pas ébruiter.... et refuse que vous en sachiez plus à son sujet. Mais derrière la publicité glacée tournée avec des célébrités, la plus grande compagnie de produits de beauté dans le monde cache un secret honteux. Au mépris de l'opinion publique sensée être primordiale, l'Oréal continue d'employer des milliers d'animaux pour pratiquer leurs tests chaque année.

L'Oréal ne veut pas informer sa clientèle de ces tests, et cette clientèle ne veut certainement pas que soit indiquée la liste répugnante de ces même tests effectués sur les animaux. Au nom de l'esthétique, des animaux sont soumis à des tests douloureux et cruels pour les produits de cette industrie. Des tests honteux concernant l'irritation de l'oeil sont effectués sur des lapins immobilisés, tandis que des substances sont versées dans leurs yeux (les lapins sont employés parce qu'ils n'ont aucun conduit lacrymal).

Voir sur ce lien :
http://sadbutrue.over-blog.com/categorie-54201.html

L'intoxication se produit sur des groupes d'animaux, continuellement gavés jusqu'à la ce que la moitié du groupe meurt. D'autres ont la peau rasée, entaillée, puis l'ingrédient est appliqué pour des tests de "réaction de peau" - tout en empêchant le pauvre animal d'ôter cette substance. Il est difficile d'imaginer la douleur ressentie par ces animaux sans défense. Mais nous tous connaissons la douleur oculaire ou lorsque notre peau est coupée - au moins nous pouvons immédiatement faire quelque chose pour soulager cette douleur. Pensez à ce qu'il en serait si nous ne pouvions pas la soulager, pas simplement pour une minute ou deux mais pendant des heures et des jours. C'est simplement honteux ! Et, nous avons seulement résumé trois tests - il y en a six pratiqués sur les animaux employés pour l'industrie des produits de beauté.

Pour en savoir plus sur ce sujet RV sur ces sites :

http://www.liberation-mag.org.uk/loreal2.htm

http://www.naturewatch.org/
http://www.hsus.org/

On peut signer cette pétition internationale pour boycotter L'Oréal :

http://www.thepetitionsite.com/1/boycott-loreal-for-animal-testing
Antisémitisme et anti-maçonnisme

Histoire secrète de L’Oréal
Le géant de la cosmétique, L’Oréal, vient d’annoncer la restructuration de son capital. Ainsi disparaît le holding de contrôle créé par Eugène Schueller pendant la Seconde Guerre mondiale. Le fondateur du groupe était aussi l’un des grands financiers du complot de la Cagoule et du nazisme français. A la Libération, la société et ses filiales étrangères servirent de refuge aux criminels en fuite. Aujourd’hui, l’héritière du groupe, Liliane Bettencourt, est devenue la femme la plus riche de France. L’histoire du groupe éclaire la face cachée de la politique française contemporaine....pour lire la suite : http://www.voltairenet.org/article12751.html

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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 08:40

Il faut aussi se mouiller pour la prendre celle-là...
Je savais pas quoi mettre comme titre...Je vais encore faire des déçus...
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22 juillet 2008 2 22 /07 /juillet /2008 08:17
Là, elle est reconnaissable entre mille...forcément, puisqu'elle est unique.
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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 10:03

même pas peur...
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 13:38
Un cours de rattrapage pour les cancres las et les retardataires. Au fond, vous avez la source qui jaillit de sous le gros rocher rouge...L'eau s'écoule par un petit affluent. Au premier plan, c'est le premier bassin, avec son îlet et son gros rocher, très habité. Et aussi sa tortue, qui peut ressembler à Alf...
L'eau du bassin s'écoule par les deux cascades que je vous ai montrées avant-hier...
Puis tombe dans le deuxième bassin pour s'écouler sous le pont (troisième photo du précédent article "les deux cascades).
Le troisième bassin après le pont...le menhir que j'ai souvent bidouillé en 2006 (flemme de chercher, mais si vraiment ça vous intéresse, c'est dans la catégorie intitulée "bidouillage") et que j'ai pris en photo sous plusieurs angles ses derniers temps...
Ensuite vient encore une petite cascade...

Et après, la vie se jette dans la rivière...(photo qui date un peu...)
Au crépuscule.
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 11:05
Les chevaux sont rarement couchés, c'est donc une photo rare...
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20 juillet 2008 7 20 /07 /juillet /2008 09:53
Ces deux femmes m'ont tapé dans l'oeil...j'ai pris plusieurs photos, cachée derrière mon volant. C'est la première que j'ai prise (j'avais oublié de régler mon appareil...) et c'est néanmoins celle que je préfère (bien qu'elle n'ait rien d'extraordinaire).
C'est dure une vie de femme, même en France.
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Ecce Fama

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