23 mai 2007
3
23
/05
/mai
/2007
10:06

Dorent l’âpre écorce que le soleil allume
Au loin, brillante encore comme une écume trop douce
Commence la rivière où la lueur s’embrume
A tes pieds, la lumière, le silence. Le nid
Se tait, les hommes sont rentrés sous le chaume qui fume
Seul l’oisillon tombé, ébranlé par la brume
À la vaste splendeur de la source s’unit
Alors, comme du fond d’un abîme, des bouts de bois
Des landes des ravins des crocos aglagla
(c’est pour la rime)
Des voix lointaines
(re aglagla)
S’élancent, piégées par ton APN
L’horizon tout entier s’enveloppe dans les ombres
Et le soleil mourant sur un ciel riche et sombre
Ferme les branches caca d’oie de son vert éventail
Mais avec Gredine tout est en pagaille.